Voyage à Smyrne, dans l’Archipel et l’île de Candie, en 1811, 1812, 1813 et 1814; suivi d’une notice sur Péra et d’une description de la marche du Sultan

«Ce petit Ouvrage est le résultat de quelques observations faites sur les lieux mêmes, pendant mon dernier voyage en Turquie. [...] Une résidence de trois années dans cette dernière province [sc. l’île de Candie], comme chancelier du consulat de France à la Canée, m’a mis à même d’y faire plusieurs remarques, qui, si elles n’ont pas d’autre mérite, auront peut-être celui de la nouveauté»(I/V).
«Je me suis attaché, dans cette relation, à donner quelques détails sur le gouvernement, le commerce et les principales productions de Candie, et j’ai cru devoir spécialement m’étendre sur les mœurs et le caractère des Grecs, [...]. Je m’étends fort peu sur les antiquités, sur l’histoire de ces différens pays: c’est leur état actuel que j’ai l’intention de faire connaître»(I/VI-VII).
«Mon but n’est de rapporter que ce que j’ai vu»(I/27).