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Autodénigrement et autodérision de l’écrivain voyageur : une rhétorique du chleuasme
L’attrait du récit de voyages en lui-même dépend largement des talents d’écriture du diariste, écrivain de métier ou d’occasion, mais aussi des qualités personnelles du voyageur. L’écrivain reconnu prend en général la plume avec assurance. L’écrivain d’occasion prend le double risque de se mettre en scène et d’endosser, peut-être en l’usurpant, la vie de l’écrivain de métier. Dans les deux cas se justifie l’emploi du chleuasme, figure de style consistant à pratiquer l’autodépréciation dans l’espoir d’une réfutation implicite de l’interlocuteur.
La reformulation dans le récit de voyage
Cette communication s’intéresse à la reformulation dans le récit de voyage à partir d’un corpus constitué par des récits de voyages du XIXe siècle, et en particulier des exemples du Voyage en Espagne de Théophile Gautier. Le but de cette analyse est de voir comment se réalise la reformulation au sein du récit de voyages, quelles sont ses particularités et spécificités.
Le genre « métoyen » en question : le cas de l’épisode algérien de Regnard
Le voyage a parfois été défini comme un « métoyen » entre l’histoire et le roman. Il donnerait lieu à un texte mêlé, hybride, entre fictionnalisation de la réalité historique et crédibilisation de la fiction. On revient ici sur cette formule, et surtout sur ses limites, comparant la Relation de l’esclavage des sieurs de Fercourt et Regnard, pris en mer par les corsaires d’Alger et la turquerie romanesque La Provençale de Jean-François Regnard (1655-1709). Cette comparaison permet de mieux cerner le travail de reconstitution et de...
Un monde de saveurs. L’expérience culinaire chez quelques voyageurs de la fin du Moyen Âge
Cette communication se propose d’évaluer la place accordée à l’expérience culinaire chez quelques voyageurs médiévaux. Elle prend en compte la manière dont l’expérience culinaire est traitée (des brèves mentions impersonnelles, des développements approfondis, des descriptions comparatives ou rhétoriques) dans les récits de ces quelques voyageurs.
« Contes de la Mille et deuxième nuit »
Contes de la mille et deuxième nuit PREMIERES EDITIONS ET TRADUCTIONS Théophile Gautier, «La Mille et Deuxième Nuit» (1842) – «La Mille et Deuxième Nuit», Musée des Familles, Lectures du soir, vol. IX, n° 11, août 1842, p. 321-330 [avec 5 compositions de Gérard-Séguin, gravées par Andrew, Best, Leloir]. – «Fin de la mille et unième nuit. La Mille et Deuxième Nuit», Le Compilateur, Revue des journaux français et étrangers, 1re série, tome I, n° 6, 31 août 1842, p. 84c-89a. – La Peau de tigre, Paris, Hippolyte Souverain, 1852, vol. I, p. 7-98. Edgar Allan Poe, «The...
Contes de la Mille et deuxième nuit
Contes de la Mille et deuxième nuit
Premières éditions et Traductions
Théophile Gautier, «La Mille et Deuxième Nuit» (1842)
-, «La Mille et Deuxième Nuit», Musée des Familles, Lectures du soir, vol. IX, n° 11, août 1842, p. 321-330 [avec 5 compositions de Gérard-Séguin, gravées par Andrew, Best, Leloir].
-, «Fin de la mille et unième nuit. La Mille et Deuxième Nuit», Le Compilateur, Revue des journaux français et étrangers, 1re série, tome I, n° 6, 31 août 1842, p. 84c-89a.
La Peau de tigre, Paris, Hippolyte...